Des proches de patients infectés par le Covid-19 attendent de longues heures pour recharger les réservoirs à oxygène. Le 14 janvier, alors que l’oxygène médical s’était épuisé, plusieurs malades sont morts par asphyxie. (Tommaso Protti /Libération)
par Tommaso Protti
publié le 3 février 2021 à 19h33
Vicente Oliveira dos Santos, 72 ans, est mort à son domicile, faute de soin. Un employé des pompes funèbres vient chercher le corps. (Tommaso Protti/Libération)
Des habitants de Manaus, ainsi que des soignants, attendent de recevoir de la nourriture distribuées par des associations locales. (Tommaso Protti/Libération)
Devant la saturation des unités de soins intensifs, les proches mais aussi les malades eux-mêmes doivent attendre devant l’hôpital. (Tommaso Protti /Libération)
Des ouvriers employés de l’entreprise Carboxi récupèrent des réservoirs à oxygène avant de les remplir pour les rendre aux proches des malades. Ces derniers ont attendu douze heures. (Tommaso Protti/Libération)
Des soignants transfèrent un homme de 90 ans malade du Covid à l’hôpital de Manaus. (Tommaso Protti/Libération)
Les proches de Katia Vanesa Barbosa Vale l’enterrent au cimetière de Taruma. Elle est morte du Covid à 37 ans, après une hospitalisation en soins intensifs. (Tommaso PROTTI/Tommaso Protti pour Libération)
Devant le manque de place dans les cimetières de Manaus, des tombes superposées sont construites pour optimiser l’espace. (Tommaso Protti/Libération)
Le nonagénaire atteint du Covid est transféré à l’hôpital de Manaus. (Tommaso Protti/Libération)
Un homme, mort du Covid, est transporté par des employés funéraires. (Tommaso Protti/Libération)
Vanda Witoto, soignante et leader indigène, est la première personnes à recevoir une dose du vaccin CoronaVac dans l’Etat d’Amazonas, dans le nord-ouest du Brésil. (Tommaso Protti /Libération)
Des femmes indigènes malades du Covid patientent dans un campement en périphérie de Manaus. (Tommaso PROTTI/Tommaso Protti pour Libération)
Un soignant près d’une unité médicale informelle en périphérie de Manaus qui accueille principalement des malades indigènes. (Tommaso Protti/Libération)